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STOP EPR

mardi 6 mars 2007, par Webmestre


Grande mobilisation nationale le samedi 17 mars à 14 h à Rennes, Lille, Strasbourg, Lyon et Toulouse.

Cassons le verrou de l’EPR pour empêcher la relance du nucléaire en France. Une autre politique énergétique est possible : mobilisons nous !

Agissez maintenant :

1/ Commandez gratuitement des tracts et affiches pour les manifestations du 17 mars : http://www.stop-epr.org/spip.php ?rubrique23

2/ Rejoignez l’un des 191 départs groupés organisés partout en France : http://www.stop-epr.org/spip.php ?rubrique48

3/ Faites un lien vers le site “stop-epr.org” depuis votre site web ou votre blog en mettant une bannière animée : http://www.stop-epr.org/spip.php ?article21

4/ Soutenez financièrement l’action du collectif STOP EPR en envoyant votre don (même minime) à : Collectif Stop EPR - 9, rue Dumenge - 69004 Lyon Votre don est déductible à 66 % de vos impôts. Vous recevrez un reçu fiscal.

Revue de presse (extraits)

- Des candidats s’unissent contre le nouveau réacteur nucléaire EPR Une cause réunit quatre candidats à l’élection présidentielle : l’opposition au nouveau réacteur nucléaire EPR. Olivier Besancenot (LCR), José Bové, Corinne Lepage (Cap 21) et Dominique Voynet (Verts) ont tenu ensemble une conférence de presse, jeudi matin, pour dénoncer l’éventuelle autorisation de l’EPR, à Flamanville, dans la Manche. Réunis par le Réseau Sortir du nucléaire, plusieurs associations environnementales et Attac, ils devaient protester contre l’absence de débat public sur le lancement de cette nouvelle génération de centrales atomiques et appeler à manifester contre l’EPR le 17 mars.

Photo AFP - Dominique Voynet, des Verts, José Bové, candidat antilibéral, Stéphane Lhomme, du réseau Sortir du nucléaire, Corinne Lepage, de Cap 21 et Olivier Besancenot, de la LCR, le 1er mars à Paris.

Source : Le Monde - 2 mars 2007 - Hervé Kempf


- Nucléaire : Bayrou souhaite que la réflexion sur l’EPR soit prolongée En déplacement à Caen (Calvados) jeudi après-midi, François Bayrou s’est prononcé sur la prolongation de la "réflexion sur l’EPR (Réacteur pressurisé européen, NDLR) pour être sûr que c’est la bonne décision que l’on va prendre". Le candidat de l’UDF à l’élection présidentielle a déploré qu’il n’y ait pas eu de véritable débat concernant ce nouveau réacteur nucléaire dont les travaux ont déjà commencé à Flamanville (Manche). Dans la matinée à Paris, Dominique Voynet, Olivier Besancenot, José Bové et Corinne Lepage avaient dénoncé ensemble ce projet jugé "inutile et dangereux". Source : Associated Press - 01.03.2007 -


- EPR : Royal choisit de ne pas choisir Elle refuse de se brouiller avec les Verts et les pronucléaire du PS Pas antinucléaire, mais proénergie renouvelable. Sur le nucléaire et la construction du prototype de réacteur EPR à Flamanville (Manche), Royal avance prudemment. Déterminée à appliquer sa démocratie participative à une filière opaque. Le 22 février, la socialiste a déclaré qu’il fallait « remettre à plat l’ensemble des données » sur ce projet, reportant toute décision après l’organisation d’un « débat ». « Je me suis engagée sur l’EPR à faire en sorte que les décisions soient prises en toute transparence », avait-t-elle souligné, estimant que « la question de l’EPR doit être réintégrée dans la question globale d’une nouvelle politique énergétique » où les énergies renouvelables devront « occuper une place plus importante ». Une façon pour Royal de ne pas rompre avec les Verts, qui font de l’arrêt du projet EPR une condition de leur participation à une future coalition. Et aussi, de ne pas heurter les associations écolos : « On appelle la gazelle à ne pas se laisser enfermer par les éléphants sur le nucléaire. Il y a beaucoup de voix en jeu », a dit hier Stéphane Lhomme (Sortir du nucléaire). Mais Royal cherche aussi à ménager les pronucléaire du PS, notamment les députés ayant une installation Areva sur leur circonscription. Arnaud Montebourg, porte-parole de Royal, a affirmé le 20 février que les socialistes « s’orientaient » vers le maintien de l’EPR ; Bernard Cazeneuve, député-maire de Cherbourg, estime, lui, que « revenir en arrière sur ce projet est impossible ». Il s’agit aussi de ne pas fâcher Chevènement, le président du MRC, qui a inscrit « la préservation de l’industrie nucléaire » dans son accord de ralliement à Royal. Résultat : le « pacte présidentiel » présenté le 11 février ne comporte plus la date de 2017, mentionnée dans sa réponse à Hulot, pour faire baisser à 50 % la part du nucléaire dans la consommation d’électricité. Ce document préfère fixer l’objectif ­ ambitieux ­ de 20 % d’énergie renouvelable à l’horizon 2020. Une autre ­ et habile ­ façon de dire la même chose ? Source : Libération - 2 mars 2007 - Matthieu Ecoiffier


- EPR : Bové prêt à appeler à démonter les lignes à haute tension Le candidat à la présidentielle José Bové a dénoncé le projet de réacteur nucléaire EPR à Flamanville (Manche) et prévenu qu’il pourrait appeler en dernier recours à "démonter les pylônes" pour "empêcher" la construction des lignes à très haute tension. "Si EDF veut passer en force à Flamanville, si les lignes à très haute tension se mettent en place, j’appelerai les citoyens à démonter les pylônes et à empêcher" leur construction, a déclaré le candidat altermondialiste lors d’une conférence de presse des organisations et associations opposées à l’EPR. Source : AFP - 01.03.07 -


- Réacteur EPR de Flamanville : les opposants interpellent les présidentiables Les organisations et associations opposées au réacteur nucléaire EPR à Flamanville (Manche) ont demandé jeudi aux candidats à la présidentielle de s’engager à abandonner ce projet jugé "inutile et dangereux", et appellent à manifester dans cinq villes de France le 17 mars. Les candidats à l’Elysée Olivier Besancenot (LCR), José Bové (altermondialiste), Dominique Voynet (Verts) et Corinne Lepage (Cap 21) ont annoncé leur participation aux manifestations, qui auront lieu le samedi 17 mars à 14H00, simultanément à Lille, Lyon, Rennes, Strasbourg et Toulouse. "Non à l’EPR, oui aux alternatives au nucléaire" sera le mot d’ordre des défilés, à l’appel des organisations Agir pour l’environnement, Attac France, Confédération paysanne, France Nature Environnement, Greenpeace, les Amis de la Terre, Réseau Action Climat, Réseau Sortir du nucléaire et WWF France. Dénonçant une "précipitation du lobby nucléaire" à construire l’EPR, elles appellent les candidats à l’élection présidentielle à "s’engager dès maintenant à abandonner le projet EPR". Le collectif "Stop EPR" va distribuer 600.000 cartes postales invitant les citoyens à les envoyer aux présidentiables pour leur demander de se "prononcer clairement contre le réacteur", a ajouté Stéphane Lhomme, du Réseau "Sortir du nucléaire". Chez les socialistes, la question n’est pas totalement tranchée. Ségolène Royal a déclaré qu’il fallait "remettre à plat l’ensemble des données" sur le dossier, après que son porte-parole Arnaud Montebourg eut affirmé que les socialistes "s’orientaient" vers le maintien de l’EPR. L’édification de la nouvelle centrale - pour un coût minimum de 3,3 milliards d’euros - doit débuter en décembre 2007, mais le décret d’autorisation de création de l’installation "n’est pas encore signé", font valoir les écologistes. Ce jeudi, le tribunal administratif de Caen examinait par ailleurs le recours de six associations de défense de l’environnement demandant la suspension des travaux préliminaires. L’EPR est dénoncé comme "totalement inutile et dangereux" par les associations écologistes. Elles jugent dérisoires les 300 emplois prévus, promettant que les énergies alternatives créeraient "quinze fois plus d’emplois". "L’énergie renouvelable est un gisement d’emplois", a ainsi assuré Mme Lepage. Source : AFP - 01.03.07 -


- Présidentielle : quatre candidats unis contre le réacteur nucléaire EPR

Dominique Voynet, Corinne Lepage, Olivier Besancenot, José Bové et Corinne Lepage ont oublié jeudi le temps d’une conférence de presse leurs rivalités de candidats pour dénoncer côte à côte le projet de réacteur nucléaire EPR qui doit se construire prochainement à Flamanville (Manche). Réunis sur une péniche pour une conférence de presse les candidats ont appuyé les revendications du Réseau Sortir du Nucléaire, accompagné de nombreuses associations écologistes comme France Nature Environnement, Greenpeace, Les Amis de la Terre, ou même ATTAC. Ceux-ci ont dénoncé la volonté du gouvernement de "boucler les dossiers juridiques" de la construction du réacteur à eau pressurisée de troisième génération avant les élections et son "inutilité énergétique". Selon une étude aux résultats "très inquiétants", commandée par Greenpeace à un expert britannique, l’EPR de Flamanville serait "le plus dangereux au monde", des scénarios d’accidents ayant été volontairement "négligés" par EDF. José Bové a affirmé son opposition à un EPR "inutile et dangereux", prôné un démantèlement du nucléaire militaire et civil, et a même appelé à ce que les militants aillent, pour s’opposer à l’EPR, jusqu’à démonter les pylônes des lignes à haute tension. Olivier Besancenot, candidat LCR, a dénoncé "les dangers et les mensonges" entretenus par les autorités, notamment concernant la "supposée indépendance énergétique de la France" grâce au nucléaire. "Nous importons l’uranium", a-t-il souligné, avant de proposer un "service énergétique 100% public" qui créerait des emplois grâce aux énergies renouvelables. Reconnaissant ne "pas partager" toutes les idées des autres candidats, la candidate de Cap 21, Corinne Lepage, a dénoncé pour sa part le "déni démocratique" dans l’enquête publique menée à l’été 2006 et redouté l’appropriation de l’activité nucléaire par de grands groupes privés. Dominique Voynet (Verts) s’est insurgée contre le fait que l’EPR ait été "vendu aux décideurs comme une centrale nouvelle génération" alors que c’est, selon elle, une technologie depuis longtemps "dépassée". Elle s’est interrogée si "les petits candidats" n’étaient pas ceux qui n’ont pas compris qu’ils étaient les otages" des lobbies pro-nucléaires. Les candidats ont prévu de participer aux manifestations organisées à Lille, Lyon, Rennes, Strasbourg, Toulouse, le 17 mars prochain, à l’initiative du réseau Sortir du Nucléaire. Ce dernier a édité 600.000 cartes postales à envoyer aux autres candidats pour leur "demander l’abandon du projet". Source : Associated Press - 01.03.2007


Retrouvez la revue de presse complète sur : http://www.stop-epr.org/spip.php ?rubrique7


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